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Album
Peinture et calligraphie, un même pinceau
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Article
Peinture et calligraphie
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Article
Esquisses de peintres
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Article
Illustrer pour orner, expliquer, convaincre
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Article
Des peintures qui se déroulent et s’enroulent
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Article
Art et politique sous les Qing
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Article
Paysages et jardins dans la peinture chinoise
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Album
Tableaux du labourage et du tissage
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Article
Les rapports entre texte et image dans la peinture chinoise
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Anthologie
L’Espace du rêve
Peinture et calligraphie, un même pinceau


















« L’unique Trait de Pinceau est l’origine de toutes choses, la racine de tous les phénomènes », écrivait le moine Shitao (1641-c.1720).
Définir la Chine comme un empire du trait, c’est souligner le rôle fondamental et unificateur de la technique du tracé au pinceau et à l’encre et son emprise sur le domaine de l’art.
Les manuscrits de Dunhuang, et plus encore les fragiles esquisses et dessins ou les rares rouleaux à peinture sont des miraculés de l’histoire, survivants improbables, constituant un émouvant héritage surgi intact après un endormissement de neuf siècles et qui apportent un éclairage unique sur la peinture chinoise avant le 10e siècle.
Mots-clés
Esquisses au trait de portraits de fonctionnaires
Réalisé sur le même papier, avec le même pinceau et la même encre que la calligraphie, le dessin appartient à l’art du trait.
Bibliothèque nationale de France
Porteurs de vajra dans le sûtra du diamant
Le pinceau plus ou moins flexible et épais, chargé d’une encre plus ou moins saturée, trace le contour du dessin, selon une approche calligraphique. Le lettré comme le peintre exploitent le même répertoire de traits, mince, épais, court, long, droit, sinueux.
Mots-clés
Bibliothèque nationale de France
Dessin d’un roi gardien céleste
Les dessins et les peintures découverts dans l’une des grottes de Dunhuang constituent des témoignages exceptionnels sur l’art chinois entre le 4e et le 10e siècle.
Mots-clés
Bibliothèque nationale de France
Série de croquis bouddhiques au verso d’un long rouleau du 8e siècle
Les esquisses constituent les plus anciens exemples retrouvés en Chine de croquis d’artistes.
Mots-clés
Bibliothèque nationale de France
Guanyin (Avalokitesvara) aux mille mains et aux mille yeux
Elles permettent de visualiser l’étape intermédiaire entre la commande et la réalisation de fresques ou de peintures sur soie connues dans leurs versions achevées.
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Bibliohtèque nationale de France
Préambule au Sûtra du diamant
Des dessins, réduits à quelques lignes épurées, viennent parfois illustrer la partie liminaire d’un texte. On peut les considérer comme de véritables antécédents de l’édition xylographique illustrée.
Mots-clés
Bibliothèque nationale de France
Deux croquis de bodhisattvas
Les genres majeurs de l’illustration chinoise sont déjà présents ou en gestation dans les documents de Dunhuang.
Mots-clés
Bibliothèque nationale de France
Sûtra de Guanyin
Le rouleau, abandonné comme forme usuelle des livres, perdurera pour la peinture et la calligraphie. Certains rouleaux du 10e siècle, entièrement illustrés, destinés à être présentés au cours de séances publiques, figurent parmi les plus anciens rouleaux peints connus.
Mots-clés
Bibliothèque nationale de France
Sariputra et les Six Maîtres d’erreur
Un conteur ou un moine fournissait le commentaire au fur et à mesure qu’il montrait la succession des images comme autant d’épisodes d’une narration édifiante.
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Bibliothèque nationale de France
Texte composite comprenant une liste d’invocations des noms de bouddhas
Les esquisses de Dunhuang préfigurent la peinture au trait monochrome qui deviendra l’expression favorite des peintres lettrés jusqu’à nos jours.
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Bibliothèque nationale de France
Tableau des êtres d’heureux présages
Les manuscrits de Dunhuang, et plus encore les fragiles esquisses et dessins ou les rares rouleaux peints, apparaissent comme des miraculés de l’histoire, surgis intacts après un endormissement de neuf siècles.
Bibliothèque nationale de France
Pierres à encres
L’art du trait n’aurait sans doute pas été aussi prééminent sans la qualité exceptionnelle de l’encre facilitant son exécution.
Bibliothèque nationale de France
L’essentiel de la fabrication de l’encre
Sous la forme solide de bâtonnets d’un noir profond, l’encre est l’un des quatre trésors du lettré. Elle est employée pour la calligraphie comme pour la peinture.
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Bibliothèque nationale de France
Nature morte au rocher, haricots, radis et champignons
L’encre envahit parfois la presque totalité de la surface des feuillets.
© Bibliothèque nationale de France
Biographies exemplaires ou Annales pour servir de miroir aux hommes
Parmi les procédés que la Chine a inventés pour produire en nombre images et textes, elle a privilégié ceux qui répondaient au génie de son écriture et permettaient de transcrire fidèlement le geste du calligraphe ou du copiste : l’estampage et la xylographie.
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Bibliothèque nationale de France
Estampages représentant des bambous
L’estampage est produit à partir d’une mince feuille de papier humide appliquée sur la pierre gravée.
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Bibliothèque nationale de France
Planches des Sept Classiques
Le procédé relativement simple de la xylographie permet de fabriquer des ouvrages à coût modéré et selon la demande. Il autorise une grande liberté de mise en page, reproduit l’écriture manuscrite et facilite la juxtaposition des images et du texte.
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Bibliothèque nationale de France
Recueil de pains d’encre de la famille Cheng
Apparue graduellement au cours de la dynastie des Tang, l’imprimerie xylographique brille sous la dynastie des Song par la qualité de sa production qui atteint un niveau de perfection insurpassable.
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Bibliothèque nationale de France
Bibliothèque nationale de France, 2004